Premières semaines

C’est d’autant plus difficile de décrire ses sentiments lorsqu’ils se bousculent.

C’est un bordel immense, où cohabitent décharges d’amertume, dépotoirs d’euphorie et bien d’autres boxons et bobinards d’émotions.

De cette schizophrénie de sensibilités émane nombres d’humeurs aussi exagérées et exaspérantes que les précédentes. Cette névrose burlesque influe bien évidemment sur mon comportement et sur mes ressentis.

Seul, on en vient rapidement à se poser des questions ultimes, universelles, suprêmes mais tout autant débiles et insensées, sur le sens de nos actions. (Je vais vous évitez mes controverses philosophiques de bas étage...)

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Ces premières semaines ont été en tout cas très troublantes mais je suis persuadé que mon premier weekend à Barcelone en compagnie d’autres « Egcéens » va désarmer une activité cérébrale un peu trop débordante.

*(Petite photo de mon tiékar t'as vu!! C'est ici que je me pose le vendredi soir avec ma petite coroniiiiiiiita)